Victor Von Kubron, un ami qui vous veut du bien

Description physique :
Victor n'a que très peu de traits connu de l'elfe mais cela ne l'empêche pas d'être un bel homme. il mesure environ 1m70 et à une stature impressionnante. Ses cheveux sont noir, sa peau très pâle et ses yeux d'un gris cristallin qu'il s'applique à cacher avec des lentilles de contacts noir. il aime se laisser une barbe de 2 ou 3 jours.
Victor fait très attention à son image, il se soigne mais aime porter ce qui est à la mode dans la haute classe bourgeoise de son pays. Pantalon de costume ou de velours, chemise impeccablement repassé, jamais de cravate mais jamais sans ses bretelles. Lorsqu'il met sa veste, il aime remonter son colle autour de son visage.
Enfin, rare sont les personnes qui savent qu'il cache quelques tatouages. sur la plante des pieds est écris le nom de sa jeune et unique soeur. Un autre se cache dans la courbure entre le bas de son ventre et le haut de sa jambe droite, il représente une phrase écrite en ancien scandinave que peu de gens savent lire. Surement en existe-t-il d'autre que nous ne connaissons pas encore.
Bien entendue, sa morphologie d'elfe, bien qu'il n'y ressemble pas, le rend rapide et gracieux. Il à l'ouïe et la vue sur développé.

Caractère :
Au premier abord, Victor vous paraitra prétentieux, froid et égocentrique. Croyez moi si je vous dit qu'il n'en est rien. Ce jeune homme est droit et ne fera jamais passer ses intérêts avant ceux des autres. D'une générosité dé-mesurable, il n'en est pas moins attentif et ne se laisse jamais berner. Si vous avez la chance de devenir son amis, il vous sera loyal et dévoué. Il à le sens de l'humour et le sérieux, le sens de la répartir. De bonne famille, Victor est très bien éduqué. Il est beau parleur et très polis.
Bien qu'il soit de nature patiente, lorsqu'il s'énerve, il ne fait pas semblant. Si son sens de la répartie n'est plus suffisant et que les propos tenu à son égare ou à l'égare de gens qu'il affectionne, ne vous attendez pas à finir votre soirée ailleurs qu'à l’hôpital le soir même.
Il se sait beau garçon et aura tendance à en profiter, il n'en est pas à sa première conquête et n'a pas l'intention de se poser pour le moment. Carriériste, sa priorité reste le bon fonctionnement de l'entreprise qu'il dirige. ce dévouement ne fais pas de lui un homme absent et préoccupé.


Histoire :
"Tu sais que tu n'es pas obligé de venir m'escorter chaque vendredi ?"
Jeanne prend la main que Victor lui tend et l'embrasse sur la joue. elle lui sourit avec tendresse
"- Mais, petite soeur, rien n'est plus agréable pour moi que de venir te chercher à ta sortie de classe le vendredi... ce petit rituel signe nos deux fins de semaines ! n'es tu pas contente de me voir ?
- Biensûr que si ! mais aujourd'hui je ne voulais pas rentrer directement... tu m'emmène faire un tour en ville ? je dois vider mon esprit de toute cette science politique !
- Vos désirs sont des ordres miss Von Kubron ! Rien ne me ferai plus plaisir qu'une sortie dans notre belle ville scandinave avec la plus jolie et intelligente des jeunes femmes" Victor ouvre la porte arrière de la voiture qui les attends, la referme derrière Jeanne bien installé et fais le tour de la voiture pour monter à ses cotés.
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Un, la jambe, deux, l'épaule... trois... le ventre... quatre, la gorge
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"Comment t'as fais pour sortir de la voiture assez vite pour rejoindre le militaire ?"
Victor reste silencieux, la tête baissé mais les yeux dans ceux de l'inspecteur.
"Répond moi espèce de sous merde... Tu penses que papa maman et leur compte en banque vont suffire à te faire sortir du trou ? T'as égorgé un membre de l'armée allemande... Je sais pas si tu sais ce que ça veut dire. En tout cas si tu as jamais pris le train... la semaine prochaine ça aura changé."
Victor n'a pas bougé d'un poile. il regarde l'inspecteur. il est partagé entre la haine et le désespoir.
un téléphone sonne sur le bureau de derrière, l'inspecteur décroche :
"oui ? ... mh.. oui ok, le deuxième gosse est avec moi... je vais lui dire" Le sourire au lèvre il se rapproche de Victor et se penche en avant sur ses deux bras sur la table.
"Mauvaise nouvelle pour toi... ta délicieuse petite soeur viens de succombé à ses blessures, il l'a pas raté ce salopard de militaire hein ? une dans la jambe, une dans l'épaule, une dans le ventre ... j'ai eu son médecin au téléph..."
Victor ferme les yeux... il ne veut rien entendre, tout deviens flou, le sol semble se dérober sous ses pieds, une envie de vomir, une envie de pleurer, une envie de tuer.. Il ouvre les yeux et voix l'inspecteur, tout sourire, continuer à déblatérer.
" Avec un petit cul comme le sien, c'est vraiment du gachis, c'est bien le genre de fille que j'me serai serré... au pire j'appelerai la morgue pour un petit entret..."
Ce mot n'est pas fini, vous devinez pourquoi... sans aucune difficulté ses menottes se sont défaites... en un quart de seconde il était derrière lui, à peine l'inspecteur avait-il commencé de parlé de la morgue que les mains de Victor était déjà de chaque coté de sa tête... le bruit sourd et effrayant d'une nuque qui se brise remplaçât la fin de ce mot...

Victor se retourne sur sa chaise et croise les bras. il se met à chanté dans cette langue qu'il aime tant qu'est l'ancien scandinave. Ce n'est qu'une heure plus tard qu'on s’inquiétât de ne plus voir l'inspecteur. Un homme en costard entre avec un petit moniteur dans la main et lui tend
Victor se voit alors refaire ses prouesses pour atteindre l'inspecteur et le tué...
"c'est toi la dessus n'est ce pas ?" il jauge le corps inerte par terre
Victor continue de chanté, l'homme en costard lui donne un coup de poing dans la tempe.
Une lentille vole, dévoilant le gris cristallin de son oeil.
L'homme souri, sors un telephone : "Arnaud et James ne seront pas mort en vain, on avait vu juste..."