[SRP1 - Jeudi très tôt] La liberté en prison

Le vent dans les cheveux, Tangerine regarde le soleil levant. l'odeur du matin rafraichit par la rosé lui est appréciable. le soleil, bien que synthétique, renvois un chaleur douce et agréable.
Le globe est immense, elle l'avait survolé de long en large. Appréciant de regarder le monde dans lequel elle était obligé de vivre.

Elle était assise sur le toit de verre du gigantesque centre commercial. Ses cheveux blond-blanc virevoltait dans le vent, et ses yeux semblaient vitreux de devoir supporter le mistral. Tangerine se voyait enfermé sous le dôme par son propre cousin. C'était le genre de trahisons qui fais mal, mal à l'âme, mal au cœur jusqu'à ce que la douleur devienne physique.

Lorsqu'elle était jeune, elle et phil s'entendait à merveille, comme une vraie fratrie qui s'aimait et se protégeait. Du jours au lendemain, Phil disparût avec son père. La guerre mondiale faisant rage, la jeune fille avait fait son deuil... jusqu'à ce que Phil réapparut, 10 ans plus tard... comme il avait disparût, subitement. Ça c'était passé vite et d'une façon très claire. L'homme avait contraint Tangerine de travaillé pour lui. Bien entendu le choix n'était pas de rigueur. Travail ou mort. Tangerine choisit de vivre, dans l'espoir de retrouver son cousin et de le changer de l'emprise de son père et de la guerre.

Elle culpabilisait beaucoup en réalité. pensant qu'elle était la cause de tout cela, ayant dévoilé sa nature à son cousin étant jeune, peut être qu'il avait raconté cela à son père. Ainsi ils avaient donc commencé par Tangerine pour les expériences biologique et physique. Après 5 ans en laboratoire, Tangerine se vit libéré.

C'est très vite que la jeune fille se confrontât au mur de verre du dôme qui la retenait.
C'était une liberté en prison. Elle entendait son cousin dans sa tête lorsqu'il désirait lui parlait, elle voyait le monde complètement différemment de ce qu'elle voyait avant. Ils l'avaient changé.

Si sa nature d'ange était de rester juste et calme, elle se voit aujourd'hui contrainte de manipuler et de blesser des gens pour ce show ridicule. admettons.. de toute manière avait elle le choix ?

Victor c'était levé tôt pour prendre son poste. Première journée. Il était fière d'avoir était placé à la tête du plus grand centre commerciale de la ville. Il tentait donc de se familiarisé avec les marques qu'il ne connaissait pas, avec le lieu... Il monte alors à son bureau au sommet du centre.

Il trouvait ce bureau magnifique. La pièce était très grande. Le plafond était en réalité le verre du toit et le plafond était également en verre en demi teinte. Il voyait parfaitement le centre mais de l'autre coté, les gens se reflétaient dans un miroir. Les meubles étaient contemporain, le bureau avait une armature de fer et le reste en verre. Les étagères étaient en bois de chêne peint en gris. Il trouvait ça parfait. Il avance alors à son bureau et fait l'état des lieux. Un sous main, un porte stylo et un cadre, vide... étrange.

Il s'allonge alors dans son grand siège et ferme les yeux. perdue dans ses songes il se voit tirer de ses rêveries par un petit bruit. Il ouvre les yeux et aperçoit une jeune fille sur le toit du centre.
Intrigué l'homme se lève et s'avance pour avoir le visage de l'ingénue dans son champs de vision. N'arrivant pas à bien l’apercevoir, il se décide d'aller la rejoindre.

Victor sort alors de son bureau et travers le centre vide vers la porte de service. il monte alors les escaliers jusqu'à la sortie de secours. Celle ci donnait sur une cage d'escalier descendant vers la grande pelouse qui entourait le centre commercial. Il enlève sa veste de costard qu'il pli soigneusement et pose sur le rebord de l'escalier, ses chaussures et ses chaussettes, il enlève sa ceinture et ouvre sa chemise. Le voilà alors parti dans son ascension vers le sommet du toit. C'est sans difficulté et malgré le vent qu'il parvint en haut en quelques minutes.
Il se plante alors derrière la jeune fille qui ne l'avait pas entendu

"J'peux faire quelque chose pour vous ?"

L'homme n'avait pas bougé, attendant que la jeune femme le considère. Il s'amusait de sa propre posture, il se tenait face à elle le jambe un peu écarté les main sur la taille, comme un super héros. Réalisant qu'il été ridicule il se remet dans une posture neutre. Il regarde la jeune fille de la tête au pied.

Elle était vraiment jolie quoi qu'un peu cadavérique. Ses yeux était d'un blond-blanc impressionnant. c'était la deuxième fois dans la semaine qu'il rencontrait quelqu'un avec cette couleur de cheveux. Elle était habillé de façon plutôt légère. pull en laine blanc lui descendant sur les bras, découvrant ainsi ses épaules, et panta-courts blanc en lin donc plutôt transparent. Le tout donné une jeune fille d'une petite vingtaine d'année jolie mais livré à elle même.

Il ne relevât que la deuxième question
"Vous êtes qui ?"

Victor sourit et avance vers la jolie ingénue.
"Victor Von Kubron, PDG du centre commercial sur lequel vous êtes en ce moment."